Mlecca






Ascendance d'hier que nous voyons s'épandre
Nos chimères déçues dans le mal imposé
De transcendance vaine ont nos peurs associées
L'orient de nos cœurs à ce qu'il faut méprendre

Ce climat pour autant éploré et piteux
À nos univers mixtes est un rapprochement
Illogique réflexe à chaque fossoiement
D'un amour supérieur à ces pieds vaniteux.

Aveuglant, l'insolence au vernit salvateur
Tant d'efforts oppressés dans l'illusion d'humeur :
Une vague impuissante à contrer la souciance

Ma grande amie revient dans ce mal du pays,
Explose, détonante, dans l'inconnu parvis
D'une stèle sculptée depuis notre naissance

Commentaires

  1. Langue des stèles
    ------------------

    La pierre ne saurait du nuage dépendre ;
    Son langage, en tous temps, est sagement posé.
    Le moindre adverbe y est subtilement dosé,
    Stèles en vains propos n'iront point se répandre.

    Et ce flot de sonnets, que je croyais suspendre,
    Que ne soutenaient plus mes doigts ankylosés,
    Il surgit à nouveau d'un esprit reposé,
    Aidé par les reflets d'un ciel aux couleurs tendres.

    Va-t-il changer de style en changeant de maison ?
    Je ne vois pour la chose aucune vraie raison,
    L'air est le même ici, selon mes connaissances.


    Car il est ainsi fait, ce cerveau de rimeur,
    Il veut toujours placer des mots sur ses humeurs,
    Carabosse m'offrit ce don, pour ma naissance.

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